Opinion: Jim Ryan, le chef de la PlayStation, malmené, fait taire ses critiques
Le patron de la PlayStation, Jim Ryan, n’est pas un méchant de la pantomime, mais c’est ce qu’il a été décrit. L’exécutif – coupable de tenir la ligne de la compagnie en jeu croisé, par exemple – a longtemps été la cible de blagues de joueurs enthousiastes. Sa plus grosse erreur? Une remarque improvisée sur le PSone Gran Turismo original jouable à côté du Gran Turismo Sport de la PlayStation 4. "Pourquoi est-ce que quelqu'un voudrait jouer ça?" C’est une question rhétorique qui se répètera ad nauseam jusqu’à la fin des temps, même si le contexte a été perdu depuis longtemps. Pour beaucoup, c’était Ryan qui s’opposait à l’héritage de PlayStation; une indication précoce, peut-être, que ses futures consoles ne seront pas compatibles avec les versions antérieures. Mais la PlayStation 5 est compatible avec les versions antérieures, et elle est en passe de devenir le digne successeur de la console actuelle de l’organisation. En fait, contre un choeur de critiques, la poursuite anglaise semble…